Retour chez les Africains

Catégories : Fist dilatation extrême GAYS bondage SM sodom, fist club
il y a 5 ans

Au cours de l’été 2018, je m’étais livré en jockstrap aux grosses bites de trois jeunes Africains noirs, en vacances chez mon cousin Damien, je l’ai déjà raconté.

Je suis revenu la semaine dernière, en fin d’après-midi, chez Damien où, comme l’an dernier, les trois mêmes Africains étaient de nouveau en vacances.

M’ayant tout de suite reconnu, ils m’ont demandé :

— T’es encore épilé comme une femme ?

— Bien sûr.

— T’as encore le jockstrap pour te faire enculer ?

— Évidemment et je veux bien que vous me fassiez tout ce dont vous avez envie, mais vous devez d’abord, comme l’an dernier, me lécher le cul et gober mes couilles.

Ils ont essayé de discuter, mais j’étais déjà à poil dans l’eau, nu comme un ver bien lisse, écartant les fesses à deux mains, ma position favorite ; la rondelle, bien offerte.

— Si on te lèche qu’est-ce qu’on pourra faire en plus de t’enculer ?

— Tout ce que vous voudrez avec l’accord de Damien, il connait mes limites.

Bandant déjà bien raide tous les trois, ils se sont succédé à me travailler le cul de la langue, à me gober les couilles et m’astiquer la bite, ils y prenaient goût, moi aussi.

— Maintenant, allez-y, les gars, faites-moi ce que vous voulez.

Je n’ai pas eu besoin de le dire deux fois. Pendant que Damien filmait, un beau souvenir de vacances à montrer chez eux, ils m’ont pilonné l’un après l’autre bien à fond, m’offrant chacun son tour sa bite à sucer au sortir de mon cul ; c’était bon ces grosses bites noires qui avaient le goût de mon cul. Je les prenais au fond de la gorge et en pelotais couilles.

Un moment après, les jeunes me claquaient les fesses, d’abord à la main puis avec des baguettes de noisetier préparées par mon diabolique cousin ; Damien m’a annoncé les premières marques, puis de belles boursouflures. J’en avais envie, mais ce fut long, cinglant.

Après les fesses, les cuisses, moi dans l’herbe, allongé sur le dos, jambes en l’air tenues bien écartées, chacune par un Africain tandis que le troisième frappait, la séquence se termina aux premières zébrures bien marquées sur le film.

— Pourquoi vous me fistez pas ?

Mon fion, habitué à cette dilatation, était déjà rodé par l’enculage mais, en prévision de ce qui l’attendait, je me suis bien lubrifié à la vaseline avant de me livrer à leurs mains qui, gantées de caoutchouc ont, les unes après les autres, pénétré loin dans mes entrailles. J’aime sentir mon anneau de cul se dilater ; au bout d’un moment je ne sentais plus grand chose. Chaque fisteur enfonça la main dans mon boyau jusqu’au-delà du poignet mais, ne sachant pas franchir le coude du rectum, ils ne pouvaient pas aller plus loin.

— Mets-moi tes deux mains dans le cul, que je lui ai dit.

— Je vais te déchirer le cul…

— Mais non, j’ai l’habitude

Je me le fais faire de temps en temps, chaque fois où je trouve un partenaire qui en a envie ; la première fois c’était dans la salle de projection d’une sex-shop. Pour moi, ce n’est nullement douloureux, au contraire, c’est une vraie jouissance de me sentir largement ouvert, comme une lope offerte à tous.

Après tout ça, il était l’heure de passer à table. Je suis resté nu pendant le repas avec un gode de 7 centimètres de diamètre dans le cul pour maintenir mon sphincter bien élastique.

J’ai encore été livré aux Africains, et à d’autres, après le dîner, je vous le raconterai bientôt.

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